Les partenariats entre l’école, le foyer et la communauté peuvent inclure diverses entités, telles que présentées dans le schéma ci-dessous. Ces partenariats peuvent être de nature formelle, informelle, contractuelle ou volontaire.
Chaque entité doit garder en tête qu’elle doit répondre aux besoins des élèves réfugiés en situation de grand retard scolaire.
Formation de partenariats
LES PERSONNES |
LES ORGANISATIONS COMMUNAUTAIRES |
LES INSTITUTIONS |
- l’élève
- les parents
- l’éducateur
- l’enseignante
- la direction d’école
- la direction générale
- le/la secrétaire
- le personnel de soutien
- les intervenants offrant des services particuliers
- les gens d’affaires
- les surveillants/es
- les immigrants établis
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- la famille
- la communauté
- l’ACFA
- La FPFA
- FJA
- CAÉ, PIA, RIFA
- le Portail de l’immigrant
- le CANUVUA
- le CDEA
- l’Institut Guy-Lacombe
- les comités de parents
- la paroisse/l’église
- autres
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- le gouvernement fédéral
- le gouvernement provincial
- le ministère de l’Éducation
- la DÉF
- l’autorité scolaire régionale francophone
- le conseil scolaire
- l’école
- les institutions postuniversitaires
- le conseil municipal
- autres
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Sigles utilisés : ACFA : Association canadienne-française de l’Alberta FPFA : Fédération des parents francophones de l’Alberta FJA : Francophonie Jeunesse Alberta CAÉ : Conseil d’accueil et d’établissement du Nord de l’Alberta CANUAVA : Canadian Volunteers United in Action Society, site bilingue CDEA : Conseil de développement économique de l’Alberta DÉF : Direction de l’éducation française PIA : Portail de l'immigrant en Alberta RIFA : Réseau en immigration francophone en Alberta
Référence : Adapté de Affirmer l'éducation en français langue première. Fondements et orientations. p. 27 (Alberta Education, 2000) |
Ressources complémentaires
Pour des exemples de partenariats possibles en vue de créer un service de tutorat ou d’interprétariat pour les élèves réfugiés en situation de grand retard scolaire, cliquez ICI.